La recherche

Des progrès pour des monomères sous contrôle

Dans la revue Science, une équipe de l’Institut Charles Sadron (CNRS), menée par Jean-François Lutz, décrit les récents progrès obtenus pour préparer des polymères synthétiques possédant des séquences ordonnées de monomères.

Chaînes moléculaires hypersensibles aux champs magnétiques

Les chercheurs de l’ISIS, Université de Strasbourg et CNRS, en collaboration avec des chercheurs de MESA+, Université de Twente, et l’Université Technique d’Eindhoven, sont les premiers à avoir réussi à créer des fils moléculaires parfaitement unidimensionnels dont la conductivité électrique peut être presqu’entièrement supprimée par un faible champ magnétique à température ambiante.

Un assemblage de nano-machines pour mimer le muscle

Pour la première fois, un assemblage de milliers de nano-machines capables de produire un mouvement de contraction coordonné s’étendant jusqu’à une dizaine de micromètres, à l’instar des mouvements des fibres musculaires, a été réalisé par une équipe de l’Institut Charles Sadron du CNRS.

5000 citations pour la technique couche-par-couche

Appartenant au top 10 des publications les plus citées en chimie ces dix dernières années, cet article a dévoilé au monde une technique, aussi simple qu’efficace, d’assemblage couche par couche ou LbL (en anglais layer-by-layer) de revêtements de taille nanométrique, permettant de réaliser de véritables millefeuilles moléculaires. Cet exploit, témoignage de l’évolution de la technologie et du nombre de ces applications jusqu’à aujourd’hui, est loin de stopper l’aventure de l’assemblage couche-par-couche.

Investissements d’Avenir, Strasbourg à nouveau à l’honneur

La deuxième vague des LabEx a couronné 6 nouveaux laboratoires d’excellence de l’Université de Strasbourg et trois équipes associées à d’autres établissements. L’Université de Strasbourg, avec ses partenaires du CNRS et de l’Inserm, compte aujourd’hui 12 LabEx. Elle conforte ainsi sa place d’université leader en France.

Des matériaux bioinspirés

Les cellules sondent les propriétés mécaniques de leur environnement par le biais de protéines dites à sites cryptiques. Ces sites sont exhibés sous l'effet d'une force mécanique et permettent de transformer une information mécanique en un signal chimique.